- L’école n’a pas de politique globale d’examens particulière.
- Tous les moyens de l’école vont vers la diversité instrumentale proposée et les pratiques collectives.
- Une politique globale d’examens a un coût (jury, accompagnement au piano) qui représente vite des heures d’enseignement qui nous sont par ailleurs extrêmement précieuses, et monopolise l’effort collectif vers la réussite d’épreuves somme toute académiques et individuelles au lieu d’œuvrer à la réussite de projets communs (concerts, …)
- De plus l’école n’étant, comme l’immense majorité des Ecoles Municipales de Musique (EMM), ni agrée ni contrôlée par l’Etat, des examens même musicalement intéressants, n’auraient selon nous aucune valeur juridique.
- Si l’on veut évaluer le niveau de nos élèves, il suffit de venir écouter les nombreux concerts et auditions que propose l’école (voir et entendre les vidéos sur ce site par exemple).
- Cependant, l’autonomie de chaque professeur dans sa classe, inscrite dans notre Projet d’Etablissement, lui permet s’il juge cela nécessaire, d’organiser ses propres examens, dans la mesure de moyens financiers adéquats, et ce, dans le cadre ou non d’une des grandes fédérations auxquelles adhère l’école (UDESMA28/CMF ou UDEM28/FFEM).
- Enfin pour les élèves qui souhaiteraient passer un examen suivant des critères nationaux, le directeur du Conservatoire à Rayonnement Départemental de Chartres, Michel Bienaimé, se propose de les accueillir dans son établissement, à partir de cette année (répétition avec piano et examen). L’aval du professeur concerné et du directeur est dans ce cas nécessaire.